Église Sainte Marthe des Quatres-Chemins Aubervilliers Pantin

Paroisse Ste Marthe des Quatre-Chemins
3, rue Condorcet - 93500 PANTIN
Téléphone : 01 48 45 02 77
Télécopie : 01 48 46 38 26
E-mail : stmarthe.paroisse@free.fr

Tirage de l’édition imprimée : 350 Exemplaires

12ème année mai 2005 Numéro 5

Portes ouvertes

Il y a un an nous étions en train de finir notre parcours paroissial. Beaucoup d’entre-vous se sont exprimés. Quelques-unes des demandes ont été réalisées ou sont en train de l’être (budget oblige !).

Mais il y avait aussi des propositions sur l’évangélisation de notre quartier (groupes de prière, attention aux jeunes, présence significative au-delà de notre enceinte...). Ces propositions sont plus difficiles à mettre en œuvre si la communauté paroissiale ne se soude pas davantage.

Voilà le pourquoi de ces dimanches de Pâques avec cet humble partage de l’évangile. Je sais que quelques-uns ont été perturbés. Mais comment faire pour mieux se connaître entre nous ? Sans cela pas d’évangélisation possible à partir d’une «  communauté ».

Si, par des causes diverses et parfaitement justifiables, ceux qui viennent à la catéchèse des adultes sont toujours aussi peu nombreux malgré des horaires différents et convenables ; si, dans les groupes de prière (rosaire, chemin de croix...), chacun fait son exercice individuel sans entrer en relation avec les autres (exceptés ceux qui sont de son cercle) ; si aux assemblées et aux autres réunions il n’y a qu’une cinquantaine de personnes qui se présentent ; si dans le groupe de préparation à la liturgie, aux lectures, aux chants... ce sont presque toujours les mêmes... comment faire pour créer des liens qui permettent de se sentir et de vivre en communauté ?

C’est encore avec cette finalité que l’Équipe d’Animation Paroissiale (et bien sûr, le curé qui en fait partie) vous propose une journée Portes Ouvertes. Il y aura dans l’église des stands auxquels vous pourrez accéder pour voir ce que font les différents groupes et pour vous y inscrire si tel est votre souhait.

Ce jour-là sera aussi le jour des baptêmes des enfants qui se sont préparés pendant deux années. Sans diminuer en rien cette fête de la communauté, nous aimerions que les familles et leurs amis puissent nous rejoindre pour faire de notre paroisse un lieu bon pour les Quatre Chemins.

Et ne manquez pas, si vous le pouvez, de participer au repas partagé et aux activités que nous avons programmées durant l’après-midi pour les enfants, les adolescents et les adultes.

Tous à la Journée Portes Ouvertes pour créer communauté, pour mieux évangéliser au milieu des Quatre Chemins.

Père Charles

À ne pas manquer en mai...

dimanche 15 mai

(apporter son repas ; pas d’assiettes ni de verres ; ils vous seront donnés, ainsi que des fourchettes, couteaux et cuillers en plastique). À la fin du repas, café pour ceux qui en souhaitent et gouttes pour le cœur ! Musique «  in vivo ».

Rencontre avec...

Quels que soient nos aléas, nos inquiétudes, il donne l’impression de tout gérer avec calme, patience, disponibilité.... Il sait aussi écouter, rassurer, «  arranger avec discrétion ». À Sainte Marthe, Père Marius, c’est la «  cheminée d’antan » où un feu chaleureux brûle les scories de nos soucis et fait jaillir les lumières de l’Évangile qui soignent l’âme.

Q. En Afrique, la prêtrise reste une élévation sociale où la famille s’implique fortement. Parlez-nous des vôtres, de l’enfance du petit Marius ; votre vocation fût-elle sous influence ?

[Au Sénégal]. Je suis issu d’une famille chrétienne. Sous la houlette de mon oncle, j’ai grandi au village où j’ai été très heureux, comme le poisson dans l’eau que j’allais pêcher au marigot avec les enfants de ma génération. À l’âge scolaire, mon père, fonctionnaire et instituteur de profession, m’a pris avec lui à Dakar. C’est dans ce milieu citadin que j’ai commencé ma scolarité (...). Cependant, mes plus belles années restent et resteront celles que j’ai passées au village.

Quant à ma vocation elle a été à la fois, oui et non, sous influence. Oui, parce que, malgré l’entourage musulman, j’ai toujours baigné dans une ambiance chrétienne dans ma famille, dans les mouvements d’action catholique et d’apostolat. Avec mon père, il n’y avait pas de demi-mesure pour tout ce qui concerne la religion. Oui, parce que ma vocation est née aussi de mon contact quasi permanent avec les Pères Piaristes à qui je dois beaucoup et que je remercie en passant. Non, parce que je suis ce qu’on appelle une vocation tardive. En effet, c’est à l’age de 33 ans, alors que j’étais déjà dans la vie active, que j’ai senti en moi le désir d’être prêtre. J’ai tout laissé tomber pour commencer mon cheminement avec les Pères Piaristes. Je n’ai subi aucune pression de quelque nature que ce soit. C’est donc en toute liberté et avec l’aide de Dieu et des Piaristes que je suis devenu prêtre.

La prêtrise reste une élévation sociale dans la mesure où le prêtre, dans mon pays est considéré comme un homme de Dieu, capable aussi de prendre une place importante dans la communauté. Il est écouté et respecté même des « anciens » ;. Son rang lui confère une certaine aura, certes, mais il demeure et il reste un serviteur. Et cela les gens ne l’oublient pas parce que le prêtre, au Sénégal, est hyper sollicité.

Q. Aujourd’hui, vous êtes notre Vicaire, le second ecclésiastique de la Paroisse. En quoi consistent vraiment vos fonctions et quelles furent les grandes lignes de votre sacerdoce au Sénégal ?

Mes fonctions à Ste Marthe, c’est avant tout seconder le curé dans sa tâche de pasteur, de guide d’une paroisse. Il m’a confié la responsabilité de l’aumônerie [et] l’organisation des baptêmes (...). En tant que vicaire je participe à la célébration de tous les autres sacrements dans les limites de mes fonctions.

(...) Au Sénégal (...), j’ai commencé mon ministère dans une paroisse de brousse, Sokone (...). J’y avais la responsabilité de toute la catéchèse, enfants comme adultes. J’étais aumônier paroissial et diocésain des scouts et des guides. Je m’occupais aussi de l’internat de la mission qui comptait une centaine de garçons et filles (...) du primaire (...) à la 3e. Après 5 ans de présence à Sokone, mes supérieurs m’ont demandé de prendre en charge notre juvénat, moyen séminaire, à Dakar. Il regroupait une vingtaine de jeunes de la seconde à la Terminale, (...) qui aspirent à devenir Piaristes. En plus de ma charge de maître de juvénat, j’étais rattaché à notre paroisse de Dakar. J’y étais aumônier des scouts, des cœurs vaillants et âmes vaillantes et de trois communautés de base ou de quartier. À l’issu de ma 3ème année au juvénat, je fus envoyé à Pantin.

Q. Votre enseignement de l’Évangile est coloré, simple mais rigoureux. Que dire à ceux qui affirment « avoir expérimenté » que les religions aboutissent toutes à la même « bonne finalité »?

Je leur demanderai alors quelle est cette finalité. Le chrétien, le musulman, le bouddhiste, l’hindouiste, le judaïsant ont-ils la même conception de cette finalité ? Je ne crois pas. Il faut éviter le syncrétisme religieux. La foi de l’Église n’est pas la foi des autres. Il faut nous respecter mutuellement. Permettre à chacun de vivre sa religion et sa foi, ou son incroyance, mais il faut éviter l’amalgame.

Q. L’adolescence est un moment délicat de l’existence. Nous savons que c’est difficile pour la jeunesse, mais également pour ceux qui les encadrent. Quel message « fort » auriez-vous envie de confier à vos jeunes de l’aumônerie ?

Aux jeunes de l’aumônerie, je dirai qu’ils sont l’Église de demain. À ce titre ils ont un rôle à jouer au sein de la communauté ecclésiale. Ils doivent prendre la place qui est la leur, mais pour cela, il faut qu’ils acceptent d’abord le minimum : la présence. C’est en étant présents d’abord aux célébrations qu’ils commenceront à être au courant de la vie de la paroisse, à découvrir les créneaux où ils peuvent être utiles et efficaces. Mais quand on est inscrit à perpétuité aux abonnés absents, on ne peut pas prétendre être actif dans la communauté. Il ne faut dès lors pas s’étonner que l’Église prenne du recul. On ne peut rien construire de durable sans sacrifice. Comme l’a dit le Pape Jean-Paul II, « N’ayez pas peur, Jésus-Christ est avec nous ».

Q. La souffrance se trouve au cœur de l’amour. Alors, dites-nous Père Marius, si vous avez eu à affronter de durs combats pour unifier, donner totalement votre vie à Dieu ?

Le don de la vie à Dieu ne va pas sans souffrance. C’est ma conviction parce que tout simplement nous sommes des humains. Nous faisons des rencontres qui nous ébranlent, sentimentalement parlant, nous avons nos contradictions, nos moments de faiblesses, de doute, de nouvelles aspirations qui nous surviennent et même parfois la sensation de s’être trompé de chemin. Il faut gérer tout cela. Je ne vois qu’une façon de s’en sortir : mettre toute sa confiance et son espérance en Dieu qui nous a appelés à Le servir et prier. Et encore prier. C’est dans la prière que je trouve la force de continuer toujours. Elle est pour moi indispensable. Je suis conscient de mes faiblesses et de mes insuffisances, mais comme dit saint Paul : « Quand je suis faible, c’est alors que je suis fort parce que je sais que le Seigneur est avec moi ».

Merci au Père Marius qui a bien voulu répondre à cet entretien. Faute de place, son propos n’a pu être entièrement reproduit. Le texte intégral de son « portrait » est disponible auprès des membres du groupe communication.

Jean Paul II

« Tu es Pierre et sur cette pierre, je bâtirai mon Église  ». Jean Paul II, 264ème successeur de Pierre est décédé le 2 avril 2005.

Il est maintenant entré dans l’histoire. Il ne faut surtout pas se lamenter. Mais remercier Dieu de nous avoir donné si longtemps un tel guide, car il a marqué l’Église d’une empreinte indélébile.

Tout a été dit sur lui et avec abondance. Ce qu’on peut surtout retenir, c’est son ouverture au monde et son accueil aux autres religions qui, par des chemins différents du nôtre, mènent toutes à Dieu. Il a été aussi un aimant pour les jeunes et il a su soulever leur enthousiasme secouant ainsi nos vieilles habitudes.

Notre paroisse s’est associée au deuil de l’Église et continuera d’en perpétuer le souvenir.

Faut-il le proclamer saint, lui qui a béatifié 1338 bienheureux et canonisé 482 saints au cours de son pontificat ? Est-ce que cela ajoutera quelque chose à ce qu’il a été ? Sa récompense, il ne l’attend pas de la vénération des hommes mais il la savoure dans l’intimité qu’il partage maintenant avec Dieu.

Il nous reste à prier pour son successeur.

Raymond Denis

Aux Journées Mondiales de la Jeunesse à Paris, en 1997,... j’y étais... parmi tant d’autres !

Des JMJ à Paris, je conserve beaucoup de souvenirs. Les petits déjeuners servis aux jeunes Italiens dans les vestiaires d’un stade à Aubervilliers, la capitale et les communes alentours « envahies » de pèlerins venus du monde entier, des fêtes chaque soir, le tourbillon des langues, des couleurs, des musiques partout, les nombreuses activités (carrefours, rencontres, débats, célébrations, temps de chants et de prière...) proposées sur le parvis à Notre Dame et dans toutes les églises, la soirée baptismale à Longchamp...

Et sur le plan plus personnel deux moments forts où l’espace de quelques instants le temps a suspendu son vol : je revois dans la rame de métro (où habituellement chacun se cache derrière son journal) cette femme âgée « cernée » par tout un groupe de jeunes polonais les larmes aux yeux à l’évocation de son pays... ; et encore au bureau (dans une administration où neutralité et laïcité sont de rigueur), alors que de la rue s’élevaient les chants des pèlerins, un échange improvisé à la photocopieuse où je découvre qu’une collègue (du bureau juste à côté) accueillait chez elle des pèlerins...

Je me souviens encore de Longchamp le 24 août, de la joie des jeunes accueillant Jean Paul II après des heures d’attente sous un soleil de plomb... Je me souviens encore de leur attention et de leur enthousiasme à l’écoute de son homélie les invitant, comme il n’a cessé de le faire à travers son « diocèse monde », à être à la rencontre et à l’écoute de l’Autre, à se défier de toutes les idéologies, y compris celle de l’argent roi, à être volontaires et courageux, à s’engager et à aller de l’avant... Je me souviens de leur recueillement et du silence époustouflant d’un million de jeunes gens... Et, encore, du moment incroyable d’enthousiasme où le Pape leur a donné rendez-vous à Rome en 2000 pour le Jubilée...

Et le plus incroyable, c’est qu’à Rome en 2000, Lui y était ! Et encore à Toronto en 2002...

Voilà, pour moi, et avant toute chose, Jean Paul II incarne Celui qui est « allé à la rencontre », qui a invité les Hommes (et particulièrement les jeunes) à se parler et à s’écouter, à s’enrichir de leurs différences, Celui qui a donné sens au verbe « relier »...

MFD

Des échos du groupe Paroles

Le quotidien La Croix, dans son édition du 18 avril s’est fait l’écho des réflexions du groupe Paroles (constitué de douze personnalités catholiques) sur quatre chantiers importants qui attendent le futur pape. Parmi ceux-ci, nous retiendrons le premier :

« (...) Une papauté d’écoute, de dialogue et de ressourcement spirituel au service de la communion. Ce qui s’est passé autour de la mort de Jean Paul II fait prendre conscience de la dimension universelle et spirituelle de la papauté. Nous y sommes profondément attachés. Que l’Église prenne les risques qu’imposent la défense de la paix, de la justice, des droits de l’homme, le développement durable, la réduction de la fracture Nord-Sud, l’option préférentielle pour les pauvres, la sauvegarde des valeurs spirituelles. Qu’avec appétit, elle multiplie les rencontres et gestes fraternels en direction des autres religions. (...). »

Le coin des jeunes... Esprit de Pentecôte

Cher jeune,

Au cinquantième jour après Pâques, l’Église célèbre la Pentecôte. Te rappelles-tu cette fête ?

Nous allons essayer de la redécouvrir ensemble.

La première Pentecôte, c’est quand le Christ a envoyé le Saint-Esprit sur ses apôtres après son Ascension. Ils s’étaient enfermés, par peur des Juifs, dans une maison qu’on appelait le Cénacle. Le jour de la Pentecôte, il y a eu un grand bruit de vent. Les portes du Cénacle se sont ouvertes, et le Saint-Esprit s’est posé sur la tête de chaque apôtre sous forme de langue de feu. Tu peux en lire le récit, si tu veux, dans le livre des Actes des Apôtres au chapitre 2. Beaucoup de gens sont accourus en entendant le bruit. Et voilà que les apôtres, qui avant avaient peur, sont sortis sans crainte, brûlés par le feu et la lumière de l’Esprit, remplis de force, d’intelligence et de courage et se sont mis à proclamer, Pierre le premier, l’enseignement qu’ils avaient reçu de Jésus-Christ. Ils sont devenus ses témoins. Le plus extraordinaire, c’est que chacun de ceux qui les écoutaient les comprenait dans sa langue.

Quel message en tires-tu aujourd’hui pour toi et pour les autres ? Le Saint-Esprit, tu l’as reçu le jour de ton baptême et tu l’as reçu ou le recevra encore le jour de ta confirmation. Le recevoir c’est devenir, comme les apôtres, disciple et témoin de Jésus-Christ et de son Évangile qu’Il nous a laissé en héritage afin que nous puissions un jour vivre avec Lui.

Alors comment es-tu témoin du Christ aujourd’hui ?. Tu peux l’être par tes paroles et tes actes quotidiens. D’abord en famille, car le devoir du chrétien commence à la maison. Si tu n’aimes pas les tiens qui sont autour de toi, comment pourrais-tu prétendre aimer les autres ? Si tu ne sais pas rendre service à la maison, te rendre disponible, comment pourrais-tu l’être ailleurs ? Ensuite dans ton milieu de vie à l’école et dans ta cité. Tes paroles et ton agir doivent montrer que tu es chrétien. Tu n’as pas besoin de le dire tout le temps ; les gens doivent le sentir en te regardant vivre. Enfin en Église. Tu n’es pas témoin tout seul, et c’est cela qui doit faire ta force. Tu es témoin avec les autres chrétiens, en Église, c’est à dire avec l’ensemble des autres fidèles de ta communauté paroissiale.

Mais être témoin ne te sera possible que si tu ouvres ton cœur à l’action de l’Esprit-Saint. C’est à dire si tu sais l’écouter, te laisser remplir de sa force et de sa grâce, te laisser guider par lui. Cela ne se fera pas sans la prière qui est le lieu privilégié de ressourcement du chrétien. Rappelle-toi ce que je te disais à propos de la prière dans une de nos « causeries ». Alors, es-tu prêt à te laisser brûler par le feu de l’Esprit-Saint ? Es-tu prêt à te laisser éclairer par lui et à assumer ton rôle de témoin du Christ et de son Évangile ? Grâce, courage et force te seront donnés par l’Esprit, mais la volonté et la liberté d’agir sont de ton côté. À toi de jouer.

Père Marius COLY

Histoire d’une âme

Manuscrit « C » - Extrait de l’Ascenseur.

« Vous le savez ma chère, j’ai toujours désiré d’être une sainte, mais, hélas ! j’ai toujours constaté, lorsque je me suis comparée aux Saints qu’il y a entre eux et moi la même différence qui existe entre une montagne dont le sommet se perd dans les cieux et le grain de sable obscur foulé sous les pieds des passants ; au lieu de me décourager, je me suis dit : le Bon Dieu ne saurait inspirer des désirs irréalisables, je puis donc malgré ma petitesse aspirer à la sainteté ; me grandir c’est impossible, je dois me supporter telle que je suis avec toutes mes imperfections, mais je veux chercher le moyen d’aller au Ciel par une petite voie bien droite, bien courte, une petite voie toute nouvelle.

Nous sommes dans un siècle d’inventions, maintenant ce n’est plus la peine de gravir les marches d’un escalier, l’ascenseur le remplace...

Moi, je voudrais aussi trouver un ascenseur pour m’élever jusqu’à Jésus, car je suis trop petite pour monter le rude escalier de la perfection. Alors, j’ai recherché dans les livres saints l’indication de l’ascenseur et j’ai lu ces mots sortis de la bouche de La Sagesse Éternelle : Si quelqu’un est tout petit, qu’il vienne à moi. Alors, je suis venue.... Ah ! jamais paroles plus tendres, plus mélodieuses ne sont venues réjouir mon âme, l’ascenseur qui doit m’élever jusqu’au ciel, ce sont vos bras, ô Jésus !... »

Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus


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