Paroisse Ste Marthe des Quatre-Chemins
3, rue Condorcet - 93500 PANTIN
Téléphone : 01 48 45 02 77
Télécopie : 01 48 46 38 26
E-mail : stmarthe.paroisse@free.fr
Tirage de l’édition imprimée :
350 Exemplaires
Paroisse Ste Marthe des Quatre-Chemins
3, rue Condorcet - 93500 PANTIN
Téléphone : 01 48 45 02 77
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E-mail : stmarthe.paroisse@free.fr
Tirage de l’édition imprimée :
350 Exemplaires
Nous avons eu la visite de notre évêque, le Père Olivier. Plus qu’une visite, sa venue a été visitation. Nous nous sentons confirmés dans notre démarche et animés pour faire encore mieux.
Avec l’Équipe d’Animation Paroissiale et avec la Commission Économique, nous avons imaginé une démarche pour « faire mieux ».
Il serait souhaitable que toutes les personnes attachées à notre paroisse s’associent à cette démarche : les fidèles des messes du dimanche ou de la semaine, les parents des enfants du catéchisme et de l’aumônerie, les catholiques des écoles, les personnes qui nous ont demandé de baptiser leurs enfants ou de les préparer au mariage chrétien, les jeunes récemment confirmés, les participants aux différents groupes paroissiaux, les personnes qui viennent prier régulièrement dans notre église et celles qui sont venues prier ici au moment de l’enterrement d’un familier ou d’un ami...
Beaucoup d’entre vous recevront une lettre. Prenez le temps de la lire avant de vous en débarrasser. Elle vous expliquera les différentes manières de participer à cette réflexion sur l’avenir de notre paroisse.
À tous ceux qui viennent habituellement aux messes dominicales, nous proposerons pendant les messes des dimanches de Carême de rester 20 minutes de plus dans l’église pour participer aux groupes de partage qui seront organisés. L’homélie et quelques chants seront raccourcis et surtout... l’office commencera à l’heure. Vous rendre disponible quelques minutes de plus pourrait être votre manière de participer à cette démarche...
Pourquoi tout ce mouvement ?
Vous n’êtes pas étonnés lorsqu’en paroisse nous affirmons que l’Évangile doit être annoncé. Il y a trop de malheurs pour que nous oubliions d’apporter à nos concitoyens une Bonne Nouvelle. Il faut le faire sans rien imposer, mais il faut « faire mieux » que ce que nous faisons aujourd’hui.
Alors nous essaierons pendant ce temps de trouver les formes et les moyens de le faire. Nous tâcherons aussi de le faire dans un « lieu bon ». C’est à dire un lieu convivial, un lieu sympathique, un lieu ouvert, un lieu de croissance, un lieu d’accueil, ou encore, un lieu bon : bon de bonheur, bon de bonté, bon au sens de bonifier, bon de bonjour. Qu’ainsi soit notre église !
À la fin du mois de juin, le samedi 26, nous pourrions vivre en assemblée les conclusions de notre démarche, et ainsi, être bien préparés pour commencer, dès la rentrée, une nouvelle année paroissiale.
À nous tous de jouer !
Père Charles
- mercredi 25 février :
imposition des Cendres à 12h et 19h
- 1er dimanche de Carême - 28-29
février :
commencement du parcours paroissial « faire de l’église un bon
lieu »
Aujourd’hui, nous présentons une expérience qui se fait dans notre paroisse en cette « année de la Bible »,
On a constitué, animé par le Diacre Martin Ekani, un groupe de prière à partir des Psaumes. Il est composé de 15 personnes inscrites volontairement. Ce sont des personnes fort engagées à l’écoute du Seigneur. (Pour d’autres inscriptions la porte est ouverte)
Connaître davantage les Psaumes nous aide à mieux prier.
Désormais, les rencontres ont lieu le 1er mercredi de chaque mois (à 19h30 chez les Sœurs).
Nous sommes à la troisième rencontre avec des échanges très enrichissants.
La rencontre du 7 janvier dernier avait un double objectif. La première demi-heure dans la chapelle des Sœurs, adoration du Saint Sacrement et prière personnelle. La deuxième demi-heure, échange sur le Psaume 71.
Les mots suivants ont retenu notre attention : confiance, silence intérieur pour rencontrer Dieu, humilité, le faire de Dieu avec nous, la place de la Vierge dans nos prières. (Nous avons bien souligné que la Vierge est le canal qui nous conduit vers son Fils)
À la prochaine rencontre (4 février) nous échangerons et prierons avec le Psaume 129.
Pourquoi choisir aujourd’hui les Psaumes pour prier ? comment les faire miens ?
Le Psaume est un lieu où je découvre mon humanité. Le Psaume m’offre ses mots pour crier avec le psalmiste ce qui ne va pas, pour questionner Dieu dans son silence. Le Psaume est un réservoir de mots pour ma prière. Le Psaume est comme une ouverture aux frères et sœurs dans la foi, à travers le temps et l’espace.
Jésus a chanté les Psaumes (Mc.14.26) Il les a souvent mentionnés, soit pour son enseignement (Mc 12.10, 12.36) soit pour exprimer sa propre prière (Mc 15.34, Lc 23.46) où il reprend quelques mots des psaumes (Ps 22, Ps.31). (à suivre)
Diacre Martin Marie Ekani
C’est important, même si ce n’est que de l’argent.
S’il nous faut des prêtres, et des laïcs libérés pour le service de l’Évangile, il faut bien qu’ils vivent. Si nous voulons être présents dans la ville, il nous en faut les moyens.
- Vous pouvez donner un peu plus et vous « rattraper » sur les impôts.
- Vous pouvez étaler votre don par prélèvement postal ou bancaire
- Vous pouvez sensibiliser d’autres personnes, voisins et amis à l’importance de ce don.
Sans votre don, l’Église serait moins Église.
Combien de malheureux qu’indigne la notion de son omnipotence (à Dieu) accourraient du fond de leur détresse si on leur demandait de venir en aide à la faiblesse de Dieu...
Sur cette terre où il a marché, comment l’avons-nous vu, si ce n’est comme un innocent sur la paille, tout pareil aux nourrissons, comme un vagabond n’ayant pas une pierre où reposer sa tête, comme un supplicié pendu à un carrefour et se demandant, lui aussi, pourquoi Dieu l’a abandonné ?
Chacun de nous est bien faible, mais c’est une consolation de penser qu’il (Dieu) est encore plus impuissant et découragé et que c’est à nous de l’engendrer et de le sauver dans les créatures.
Marguerite Yourcenar
Dieu n’est pas venu expliquer la souffrance ; il est venu la remplir de sa présence.Paul Claudel
- Les célébrations de Noël. Deux veillées bien animées, celle du catéchisme et celle de l’aumônerie, ont permis aux enfants et aux quelques parents qui y ont assisté d’approfondir le mystère de Noël. Beaucoup de fidèles ont participé aux messes. Ils ont apprécié la crèche faîte par MM. Matisse et Mauger et celles que les enfants ont fabriquées. Beaucoup de paroissiens ont prié devant la flamme des veilleuses de Noël. Enfin, nombreux encore étaient ceux qui, le Jour de l’An, se sont réunis pour prier pour la paix.
- Du mercredi 7 au samedi 10 janvier, notre évêque, le Père Olivier, est venu nous rendre visite.
Mercredi, après avoir célébré l’eucharistie, il a déjeuné avec le directeur de Saint-Joseph et la directrice de Sainte-Marthe accompagnés de quelques enseignants. Nous avons échangé sur les difficultés d’évangélisation rencontrées dans nos écoles. Dans l’après-midi il a rencontré les membres de la Commission Économique avec lesquels il a réfléchi sur les moyens d’assurer le bon fonctionnement de l’économie de notre diocèse. Ensuite, le Père Olivier a réuni l’ensemble des catéchistes et animateurs de l’aumônerie. Nous avons alors dialogué autour des thèmes de la transmission de la foi, de la participation des parents, de la formation des catéchistes. Nous avons été encouragés dans notre mission. Pour finir notre évêque a partagé le repas de la communauté piariste.
Le lendemain plus de douze prêtres se sont retrouvés avec lui au presbytère de Sainte-Marthe au cours d’une rencontre à la foi conviviale et riche en réflexion. Puis, en sa compagnie, nous nous sommes rendus à Notre-Dame des Vertus où nous avons rencontré le conseiller municipal d’Aubervilliers pour la jeunesse et le délégué pour la participation et l’association des jeunes. Le Père Olivier a également participé à une réunion avec des responsables de la JOC.
Enfin, le samedi soir le Père Olivier a animé une belle célébration dans notre église. De manière simple et directe, il nous a montré des chemins pour aller au cœur de la foi et il a demandé aux pères piaristes de créer, à leur manière, un espace de prière dont l’animation soit compatible avec leurs multiples activités.
- Quelques-uns d’entre nous se sont retrouvés aux Vœux des Maires de Pantin et d’Aubervilliers. Ces cérémonies nous ont permis de rencontrer et de saluer nombre de nos concitoyens. Certains paroissiens également ont assisté à l’hommage rendu par la Mairie de Pantin à ses conseillers, M. Michel Théchi et Mme Bernadette Iseler disparus tragiquement dans l’accident d’avion survenu le 2 janvier en Mer Rouge. Le Père Curé a signé au nom de toute la paroisse le registre de condoléances.
- Le 10 janvier s’est tenue la réunion annuelle de l’Association Jeanne d’Arc de Pantin. Rencontre qui a rassemblé les anciens du « patro » au cours d’un repas convivial et qui a été l’occasion d’entendre une aimable et humoristique versification autour du numéro sept... Notre Père Curé a été élu vice-président de l’Association.
- Le 17 janvier a eu lieu au Blanc Mesnil une belle rencontre sur les thèmes du baptême et de l’eucharistie. Quelques-unes de nos catéchistes y ont participé.
- Au moment où nous « bouclons » cet Écho se déroule l’exposition organisée par le CCFD sur le thème de « la souveraineté alimentaire ». Nous espérons qu’elle sera profitable pour beaucoup.
- Le jeudi 5 février, rencontre de prière et de réflexion du MCR à 14h30 chez les Sœurs.
- Le jeudi 5 février également, préparation de Carême pour les catéchistes à 18h15 chez les Sœurs.
- Le samedi 7 février, journée de réflexion à St-Charles du Blanc Mesnil, de 9h à 17h, sur le thème « les nouveaux courants religieux (et les sectes) ».
- Le jeudi 19 février, rencontre conviviale du MCR à 14h30 chez les Sœurs.
- Le mercredi 25 février, imposition des cendres à la messe de 12h et à 19h.
- Les 28/29 février, 1ier dimanche de Carême. Point de départ de la route vers l’Assemblée paroissiale.
Aujourd’hui nous vous présentons une réflexion du groupe santé.
La réflexion est préparée par chaque participante. Cette fois, il s’agissait des réflexions qui nous sont faîtes par les malades ou leurs familles, qui attribuent à Dieu leur épreuve de santé. Nous constatons qu’il y a aussi l’absence totale de Dieu dans leur vie.
Dans l’Évangile, nous lisons ensemble le passage de l’aveugle-né que Jésus a guéri : « Rabbi, est-ce lui ou ses parents qui ont péché pour qu’il soit né aveugle ? »(Jn 9.2-3)
Chacune exprime ce qu’elle entend dire : la personne âgée appelle Dieu pour que finisse sa vie, car elle se sent inutile ; les malades atteints de maladie grave ne font aucune référence à Dieu car ils se replient sur eux-mêmes ; parfois on entend un malade qui se sent responsable de sa maladie (boisson, tabac, stress).
Dans cette guérison opérée par Jésus, il y a beaucoup à réfléchir, mais nous retenons le fait que Jésus rend à cet aveugle une vie de relations qu’il avait perdue étant exclu du Temple à cause de son handicap.
L’essentiel de notre partage sera de découvrir comment l’homme créé par Dieu comme être relationnel, trouvera un chemin pour le rejoindre si nous savons, par notre écoute, notre attention, notre tendresse parfois, lui permettre de sortir de lui-même : « Il faut faire vivre à chacun un petit instant de bonheur » nous dit Jean-Marc.
Peut-on dire que la Foi aide beaucoup à accepter l’épreuve d’une souffrance ?
Elle nous aide dans la mesure où nous acceptons de faire le chemin d’une relation avec le Seigneur qui nous rejoint à travers toute notre vie pour nous désencombrer des choses afin de nous attacher à Lui car c’est déjà la Vie éternelle. Dieu nous fait « devenir » à travers un chemin d’épreuves et c’est un enfantement : cf. Lettre de St-Paul aux Romains, Rm 8.18-25)
Une prière rassemble nos réflexions et nous pensons aux malades que nous connaissons.
Sœur Suzanne
- Prochaine rencontre, ouverte à tous ceux et toutes celles qui travaillent dans le monde de la santé, le lundi 29 Mars.
Je viens à Toi dans ma détresse...
(Je viens à Toi dans mon bonheur...)
Je viens à Toi
Quoi dire que tu ne saches pas déjà.
Quoi t’annoncer à Toi, qui connais depuis longtemps mon cœur.
Alors, prends ma petite bougie
qui manifeste ma fragilité et mon désir,
les deux brûlent devant Toi
comme si c’était moi-même
en attente de ton souffle
pour devenir lumière née de la lumière.
